vendredi 21 novembre 2008

Le retour...

Le mardi 18 novembre 2008

Eh oui, nous sommes rentrés, prêts à replonger dans la routine. Je ne dis pas le train-train, puisque, pour tous ceux qui ont fait le voyage à Paris, la semaine de retour devra être menée à un train d’enfer !

Avant toute chose, je veux vous présenter mes excuses, que vous ayez fait partie du voyage ou que vous soyez restés ici; à tous ceux qui font partie du cercle de lecture, à tous les parents et aux familles des étudiants, à leurs amis, à tous les habitués qui consultent le blogue régulièrement, à tous ceux qui nous suivent et qui nous encouragent depuis le début, je voudrais demander pardon de ne pas avoir tenu ma promesse.

En effet, vous n’avez eu aucune nouvelle de nous (ou si peu) pendant ce voyage, contrairement à ce que j’avais annoncé ! J’en suis désolée, sincèrement désolée. Si j’ai attendu aujourd’hui pour en parler dans ce lieu, c’est que ma colère n’est toujours pas retombée ! Pour faire court, voici ce qui s’est passé.

Je suis partie à Paris avec un ordinateur portatif (6,4 kg avec l’étui…) qui m’aurait, malgré son poids, parfaitement satisfaite s’il m’avait permis de naviguer sur Internet en France et de rester ainsi en contact avec vous. On avait doté l’appareil d’un long fil muni à chaque extrémité de prises du même type que les prises téléphoniques nord-américaines. Seulement voilà, partout où nous sommes allés, c’est le système Wifi qui est utilisé, et mon long fil encombrant était inutilisable. Je ne sais pas si ce type de fil a déjà été utilisé en France; ce que je sais, c’est que, contrairement à ce qu’on m’a affirmé avant de partir, cette technologie est aujourd’hui désuète.

Nous avons donc dû nous rabattre sur l’ordinateur de l’hôtel qui fonctionnait avec des cartes Wifi payantes, ce qui comportait pas mal d’aléas : de nombreux clients voulaient l’utiliser, à commencer par les étudiants, bien sûr; la connexion n’était pas toujours fiable (j’ai perdu ainsi plusieurs messages laborieusement tapés sur un clavier français). Par ailleurs, on aurait dit que l’hôtel avait conçu l’installation la plus inconfortable qui soit pour que personne ne s’attarde ! De plus, le rythme soutenu que nous avons mené du début à la fin du voyage ne nous a pas permis de ménager des pauses dans des cybercafés. Attendez de voir les résumés de chaque journée (pas avant le 28 novembre sur notre blogue), vous comprendrez !

J’espère que vous ne m’en voudrez pas trop. Je suis consciente de vous avoir déçus et, je vous présente, encore une fois, mes excuses les plus sincères.

Je vous remercie de votre compréhension.

Nicole Garet

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